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vendredi 2 novembre 2007

Si les bateaux

Je découvre à peine un nouveau monde.

Alors que nous étions encore à la bière en apéro, je voulais déjà voir son bateau.
Je l’écoutais me raconter sa vie sur le bateau et j’étais fascinée.
Je devais voir ça.

Stationnée Colette à la marina.
Nous descendions jusqu’au quai.
Je n’en revenais pas des maisons flottantes qui s’y trouvent. Les quais comme des trottoirs, les rues en eau et les bouts de « terrains » qui sont de l’eau aussi.
J’étais sans voix.
J’avais l’impression de me balader dans un quartier résidentiel… Enfin ! C’est un quartier résidentiel !

Puis le bateau, un voilier. Préparé pour l’hiver, donc les voiles n’y étaient plus.
On glisse le toit, on retire deux panneaux, quelques petites marches pour descendre.
Voilà l’intérieur. Compact, pratique et bien rangé.
J’étais véritablement fascinée.
J’aurais eu envie d’ouvrir tous les petits compartiments, et d’appuyer sur tous les boutons, juste pour tous les essayer !
J’aurais posé 800 questions.

Durant quelques temps, nous regardions des cartes d’eau. M’expliquant quelques petites choses… Et les sorties qu’il avait fait autour.
Il est patient mon hôte.

Puis, je lui demandai pour retourner à l’extérieur. Il retira les panneaux encore une fois. Le voyant manœuvrer… je n’avais pas réalisé que ça demandait tant de travail !
Je m’en excusai.
En fait, c'est pas tant de travail...c'est juste que je comprends; vivant dans ma van, il y a de ces petits gestes qui... Enfin! Je comprenais!

À l’extérieur, une nouvelle vague de questions.
« Est-ce qu’on peut faire ça comme ça ? »
« Tu peux faire comme tu veux » de me répondre !
En plus on peut faire comme on veut !
Puis, près de la pointe, j’eue d’autres questions et d’autres explications.
Je découvrais véritablement un nouveau monde.

Je prenais de l’assurance, je me sentais le pied solide, malgré la noirceur et mon inexpérience.

Au matin, je remarquai, qu’habituellement, il n’est pas nécessaire d’enlever les panneaux. Que de la marche et qu’un pied sur le coin du comptoir, on arrive à enjamber. Alors pourquoi se donner tant de mal ! Telle une habituée, j'enjambai le tout.

Puis, de me balader dans ce petit quartier résidentiel d’une centaine de bateaux me donnait un sourire espiègle.
Je découvrais un nouveau monde.
Et, j’aime ça.

1 commentaire:

Akimette a dit…

on veut des photos.... stp!!!!!!!!!! Du bateau ..et de ce qui l'habite...Merci pour ton appel; ça m'a fait chaud au coeur et je n'osais pas te le dire au tétléphone.. oui oui les couples ce n'est pas toujours la joie.. en ce moment c'est ainsi pour moi..mais j'ai confiance de retrouver les beaux jours et c'est cette confiance aux beaux jours qui bâtit en soi, le goût de rester avec quelqu'un qu'on aime..malgré tout! Ciao bella!!! xxxx