
Reprenons depuis Neslon.
(du 5 octobre au 11 octobre)
Donc, la dernière fois, j’étais dans le parc de Neslon et je faisais mon herbier. Je me sentais vraiment bien dans le parc, le long de la plage, je respirais si librement…Je me sentais vraiment heureuse…
Mon passage à Nelson a été vraiment pas mal ! J’y suis restée autour de 5 jours… J’ai dormi sur le bord de l’aéroport, au camping, dans la rue, à l’auberge et des chez les amis d’une amie. (Toujours dans ma van même si je dis dans la rue !)
Je me suis baladée quelques fois à vélo dans la ville, laissant ma van au camping.
J’ai acheté mon permis de conduire international, visités quelques cafés, pris un bain mémorable, je me suis promenée dans les sentiers, le long d’un ruisseau chez les amis en question, j’ai fait un herbier en photo, de la confiture et du chuktney aux prunes !
J’ai été charmée et saisie par la variété des fleurs et des arbres. Toutes ces nouvelles formes et l’abondance des couleurs.
J’ai beaucoup aimé le rythme de la ville. Beaucoup d’artistes, beaucoup d’artisans.
Il règle un sentiment d’auto-suffisance… j’ai de la misère à bien décrire….
Je dirais que tous le monde semblent pas mal conscientisés, que les choses vont de soi tout ce qui a trait aux affaires bio, au recyclage, un peu grano hippie paysan. Gens de la terre.
Ça semblait donner un sentiment de liberté de d’autonomie à la ville… Le monde était souriant et relaxe.
En tout cas, j’ai aimé Nelson.
(du 5 octobre au 11 octobre)
Donc, la dernière fois, j’étais dans le parc de Neslon et je faisais mon herbier. Je me sentais vraiment bien dans le parc, le long de la plage, je respirais si librement…Je me sentais vraiment heureuse…
Mon passage à Nelson a été vraiment pas mal ! J’y suis restée autour de 5 jours… J’ai dormi sur le bord de l’aéroport, au camping, dans la rue, à l’auberge et des chez les amis d’une amie. (Toujours dans ma van même si je dis dans la rue !)
Je me suis baladée quelques fois à vélo dans la ville, laissant ma van au camping.
J’ai acheté mon permis de conduire international, visités quelques cafés, pris un bain mémorable, je me suis promenée dans les sentiers, le long d’un ruisseau chez les amis en question, j’ai fait un herbier en photo, de la confiture et du chuktney aux prunes !
J’ai été charmée et saisie par la variété des fleurs et des arbres. Toutes ces nouvelles formes et l’abondance des couleurs.
J’ai beaucoup aimé le rythme de la ville. Beaucoup d’artistes, beaucoup d’artisans.
Il règle un sentiment d’auto-suffisance… j’ai de la misère à bien décrire….
Je dirais que tous le monde semblent pas mal conscientisés, que les choses vont de soi tout ce qui a trait aux affaires bio, au recyclage, un peu grano hippie paysan. Gens de la terre.
Ça semblait donner un sentiment de liberté de d’autonomie à la ville… Le monde était souriant et relaxe.
En tout cas, j’ai aimé Nelson.
Sur la plage de Neslon, on nous confirme: Les enfants ne flottent pas!

La coop bio est plus grosse que l’épicerie sur Mont-Royal, beaucoup produits locaux. Le cinéma diffuse des documentaires et des films à portée social, il y a une école d’art, le Wal-Mart n’est pas propriétaire de son immeuble et il n’y a pas de Mc Do.
Charmante petite ville des Kootney, nom de la région de la Colombie-Britannique.
J’ai dormi 2 soirs chez les amis de mon amie Francine.
Quand je suis arrivée, j’avais presque l’impression que les choses avaient été scénarisées ! Dans la petite vallée feuillue, au pied de la cote abrupte le soleil de 4hre brillait.
Le grand jardin clôturé, les poules plus loin, le chat au milieu de l’allée… en descendant le sentier le long de la charmante maison, pour me diriger au ruisseau, il y a avait une chevreuil à 4 ou 5 mètres de moi ! Puis je vis la fumée par la cheminée, il y a quelqu’un.
J’y ai rencontré deux vraiment belles personnes, qui m’ont ouvert toute grande leur porte. Un beau partage de façon de vivre, de façon de faire, et de penser. C’est là que j’ai fait le chutkney et que j’ai pris mon bain !! Quel bain ! J’ai aussi mangé et couper des tas de prunes !

Aussi entendu de WWOF (willing worker on organic farm) disons un autre sorte de couchsurfing !
Free-cycle… il y en a un à Montréal, un moyen d’échanger des biens qui ne nous servent plus mais qui sont encore bon.
De watsu, de water danse… Et j’en passe.
Vous pouvez trouver tout ça en cherchant sur google !
Le lendemain des prunes… j’ai fait un ménage de Colette, un bon ménage ! Je l’ai lavé, l’extérieur et l’intérieur (frigo plancher et compagnie) et j’ai commencé la cire ! (Ça m’a rappelé toute l’énergie mise lors du premier ménage…)
J’ai fait la moitié ce jour-là ! J’avais la Colette deux tons ! Pendant que je frottais, j’écoutais la radio. J’écoutais vraiment beaucoup la radio à Montréal… je renouais avec la radio ! Deux bonnes heures assez pour mettre ma batterie à plat ! J’écoute CBC, je pense. Les anglais n’abordent pas les sujets de la même façon et ils parlent plus des criminels recherchés et des dangereux !…
Quand je suis repartie, je me sentais presque émue, j’avais l’impression que le temps s’était arrêté. Je flottais ! Et, je deviens toute énervée quand je prends la route !
Autour de 15hre , ce jeudi-là je repris la route en direction de la vallée de l’Okanagan.

Sur la route, les couleurs de l’automne. C’est beau l’automne.
Les paysages commençaient à changer, les montagnes rapetissent et elles sont plus désertiques…

J’arrêtai quelques fois prendre des photos…
Et, je me rendis au camping municipal de Grand Fork.
(Pour la suite lire: Au camping de Grand Fork)
** je ne sais pas ce que veut dire ce panneau!?!

 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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