J’ai vu ce soir, les plus beaux éclairs de chaleur de ma vie. Ils déchiraient le ciel ou l’éclairaient complètement. Mais à chaque fois c’était un spectacle. Et du ciel, il y en a !
Le fait que le sol soit plat ; on dirait qu’il disparaît du paysage, ça laisse toute la place au ciel. Un peu comme au bord de la plage, quand la mer rencontre le ciel.
Des petits tas de foin roulaient sur le stationnement du Wal-Mart (finalement atteint), il ne manquait qu’un remix de « Il était une fois dans l’ouest ». Le couché de soleil a eu l’air pas mal ; rose et orange, mais je suis restée au café internet à bavarder sur MSN.
Depuis que j’ai quitté Winnipeg et son Fringe. Je me suis dirigée vers le Parc National du Mont-Riding, toujours au Manitoba. Je commençais à sentir les prairies, mais un parc national, c’est forcément de la forêt ! Alors pas si dépaysant… je commençais même à me demander si mon intérêt pour Winnipeg venait du fait que je sortais de plusieurs jours de forêts nordiques ontariennes.
Mais, non ! Winnipeg a un petit chose quelque de particulier. Les gens, je pense. Ils sont très expressifs je dirais. Beaucoup d’arts sous différentes formes; de théâtre, les Grands Ballets, des bands manitobains, un conservatoire… C’est le Montréal du Manitoba. Plus même ! C’est la seule ville de la Province ! Et, il n’y a que 600 000 personnes ! Le Parc à skate est hyper populaires des gens de tous âges, et des bons ! On fait du cirque dans la rue avec ses amis (sans mettre de chapeau !) On joue de la musique sur les bancs… Les styles vestimentaires aussi, les gens ont du « style ». Alors beaucoup de gens artistiques et n’oubliez pas que c’est la ville canadienne qui produit le plus de mannequins internationaux ! Que 600 000 personnes. Il y a beaucoup d’enfants quand même, mais apparemment, le taux de croissance de la population reste le même. J’imagine que l’exil est fort. Le taux de criminalité est élevé pas mal aussi. Ça l’air qu’il y a eu un meurtre dans un bar dernièrement. Un gars en a tiré un autre, et le policier l’a descendu après. Enfin ! Voilà pour Winnipeg !
Je me suis pris un terrain de camping avec eau et électricité question de faire le plein, pour aller voir les bisons du lendemain.
Avertissement aux ours… ils sont souvent autour ces temps-ci. C’est de même partout ! Et après les bisons et la sieste dans ma van sur le bord d’un lac, pour effacer les traces de mon de mon levé à 5h30, j’ai repris la route
Puis j’ai franchi la frontière de la Saskatchwan. Le paysage a changé légèrement, là pas de doutes, c’était maintenant : Les prairies.
J’emprunte la route du nord, il parait que c’est plus joli, mais comme je n’ai pas vue l’autre ; difficile de comparer. Jusqu’à maintenant, j’aime bien les prairies. Mon premier champ a été un champ de tournesol, alors que j’étais encore au Manitoba. Il y a des paysages impressionnants. Mais ce qui me surprend le plus c’est le ciel. Faut dire que la journée était superbe. Le ciel était bleu, quelques nuages bien blancs. Une chance que le ciel est beau, car il n’y a vraiment rien d’autres, des kilomètres de champs sans voir une maison ! Des vaches de temps en temps, quelques chevaux, des canards dans des petits lacs et des corbeaux
Sur la route, j’ai croisé la ville de St-Eustache, celle de Kandahar et Gilbert plains. Il y aussi deux sites ukrainiens aussi et dans le dépliant promotionnel de la Saskatchwan, on parle d’une fête ukrainienne, mais j’ai pas lu. Sur la route j’ai aussi vu une publicité : Saving Saskatchewan, Ressource no 1 people, Pro-live». Et, encore sur la route, j’ai dû frapper une livre et demi de libellules. J’en ai jamais vu autant ! C’est des mouches domestiques ! Je roulais dans le silence, mais toujours en bruit de fond, il y avait les criquets dans les champs, avec le bruit du vent par la fenêtre, c’était ma musique. J’ai vu 6 chevreuils vivants !
La ville de Saskatoon a l’air mignonne. À mon arrivée je suis allée cherche la carte de la ville, après en avoir fait rapidement le tour. Demain, après mon premier lavage (j’en ai des affaires !), j’y ferai un tour de vélo. J’irai peut-être taper des balles de golf aussi, il y a tellement de terrain de golf ici, que ça serait sacré que de ne pas en profiter !
Le fait que le sol soit plat ; on dirait qu’il disparaît du paysage, ça laisse toute la place au ciel. Un peu comme au bord de la plage, quand la mer rencontre le ciel.
Des petits tas de foin roulaient sur le stationnement du Wal-Mart (finalement atteint), il ne manquait qu’un remix de « Il était une fois dans l’ouest ». Le couché de soleil a eu l’air pas mal ; rose et orange, mais je suis restée au café internet à bavarder sur MSN.
Depuis que j’ai quitté Winnipeg et son Fringe. Je me suis dirigée vers le Parc National du Mont-Riding, toujours au Manitoba. Je commençais à sentir les prairies, mais un parc national, c’est forcément de la forêt ! Alors pas si dépaysant… je commençais même à me demander si mon intérêt pour Winnipeg venait du fait que je sortais de plusieurs jours de forêts nordiques ontariennes.
Mais, non ! Winnipeg a un petit chose quelque de particulier. Les gens, je pense. Ils sont très expressifs je dirais. Beaucoup d’arts sous différentes formes; de théâtre, les Grands Ballets, des bands manitobains, un conservatoire… C’est le Montréal du Manitoba. Plus même ! C’est la seule ville de la Province ! Et, il n’y a que 600 000 personnes ! Le Parc à skate est hyper populaires des gens de tous âges, et des bons ! On fait du cirque dans la rue avec ses amis (sans mettre de chapeau !) On joue de la musique sur les bancs… Les styles vestimentaires aussi, les gens ont du « style ». Alors beaucoup de gens artistiques et n’oubliez pas que c’est la ville canadienne qui produit le plus de mannequins internationaux ! Que 600 000 personnes. Il y a beaucoup d’enfants quand même, mais apparemment, le taux de croissance de la population reste le même. J’imagine que l’exil est fort. Le taux de criminalité est élevé pas mal aussi. Ça l’air qu’il y a eu un meurtre dans un bar dernièrement. Un gars en a tiré un autre, et le policier l’a descendu après. Enfin ! Voilà pour Winnipeg !
Je me suis pris un terrain de camping avec eau et électricité question de faire le plein, pour aller voir les bisons du lendemain.
Avertissement aux ours… ils sont souvent autour ces temps-ci. C’est de même partout ! Et après les bisons et la sieste dans ma van sur le bord d’un lac, pour effacer les traces de mon de mon levé à 5h30, j’ai repris la route
Puis j’ai franchi la frontière de la Saskatchwan. Le paysage a changé légèrement, là pas de doutes, c’était maintenant : Les prairies.
J’emprunte la route du nord, il parait que c’est plus joli, mais comme je n’ai pas vue l’autre ; difficile de comparer. Jusqu’à maintenant, j’aime bien les prairies. Mon premier champ a été un champ de tournesol, alors que j’étais encore au Manitoba. Il y a des paysages impressionnants. Mais ce qui me surprend le plus c’est le ciel. Faut dire que la journée était superbe. Le ciel était bleu, quelques nuages bien blancs. Une chance que le ciel est beau, car il n’y a vraiment rien d’autres, des kilomètres de champs sans voir une maison ! Des vaches de temps en temps, quelques chevaux, des canards dans des petits lacs et des corbeaux
Sur la route, j’ai croisé la ville de St-Eustache, celle de Kandahar et Gilbert plains. Il y aussi deux sites ukrainiens aussi et dans le dépliant promotionnel de la Saskatchwan, on parle d’une fête ukrainienne, mais j’ai pas lu. Sur la route j’ai aussi vu une publicité : Saving Saskatchewan, Ressource no 1 people, Pro-live». Et, encore sur la route, j’ai dû frapper une livre et demi de libellules. J’en ai jamais vu autant ! C’est des mouches domestiques ! Je roulais dans le silence, mais toujours en bruit de fond, il y avait les criquets dans les champs, avec le bruit du vent par la fenêtre, c’était ma musique. J’ai vu 6 chevreuils vivants !
La ville de Saskatoon a l’air mignonne. À mon arrivée je suis allée cherche la carte de la ville, après en avoir fait rapidement le tour. Demain, après mon premier lavage (j’en ai des affaires !), j’y ferai un tour de vélo. J’irai peut-être taper des balles de golf aussi, il y a tellement de terrain de golf ici, que ça serait sacré que de ne pas en profiter !