Depuis que je suis arrivée, je vous ai parlé à plusieurs reprises des montagnes.
Elles sont toujours aussi belles…
Bien qu’elles ne soient exactement les mêmes depuis mon arrivée, elles changent d’aspect continuellement.
Parfois elles sont derrière les nuages, alors les sommets disparaissent.
Parfois, les nuages sont tellement bas que ça fait un voile sur toute la ville, alors, on voit les sommets, mais tout est légèrement gris.
Certaines fois le ciel est bleu et ensoleillé et les quelques nuages présents, font des points d’ombrage sur les montagnes. Ce qui donne comme effet une montagne vert clair et vert foncé, picotée. Et à mesure que l’on avance et à mesure que les nuages bougent, les montagnes changent.
J’ai l’impression que jamais je ne me tannerai de regarder, ces éternelles combinaisons de ciel et de montagnes.
Il faut savoir que la ville de Jasper est à 1150 mètres d’altitude…On est prêt des nuages ! Mon corps commence à s'habtiuer à l'altitude. J'avais toujours le souffle court quand je montai les escaliers de l'auberge, qui se trouve possiblement à 500 mètres d'altitude supplémentaires... et je me suis rendue compte que c'était vraiment l'altitude qui m'affectait. Et que mon coprs d'habituerait tranquilement... mais surment!
Depuis que j’ai gravi mon premier sommet ici, je vois les montagnes différemment. Je suis moins contemplative, j’ai maintenant l’impression d’avoir fait partie du paysage.
Il y a les montagnes certes, mais aussi les animaux.
Elles sont toujours aussi belles…
Bien qu’elles ne soient exactement les mêmes depuis mon arrivée, elles changent d’aspect continuellement.
Parfois elles sont derrière les nuages, alors les sommets disparaissent.
Parfois, les nuages sont tellement bas que ça fait un voile sur toute la ville, alors, on voit les sommets, mais tout est légèrement gris.
Certaines fois le ciel est bleu et ensoleillé et les quelques nuages présents, font des points d’ombrage sur les montagnes. Ce qui donne comme effet une montagne vert clair et vert foncé, picotée. Et à mesure que l’on avance et à mesure que les nuages bougent, les montagnes changent.
J’ai l’impression que jamais je ne me tannerai de regarder, ces éternelles combinaisons de ciel et de montagnes.
Il faut savoir que la ville de Jasper est à 1150 mètres d’altitude…On est prêt des nuages ! Mon corps commence à s'habtiuer à l'altitude. J'avais toujours le souffle court quand je montai les escaliers de l'auberge, qui se trouve possiblement à 500 mètres d'altitude supplémentaires... et je me suis rendue compte que c'était vraiment l'altitude qui m'affectait. Et que mon coprs d'habituerait tranquilement... mais surment!
Depuis que j’ai gravi mon premier sommet ici, je vois les montagnes différemment. Je suis moins contemplative, j’ai maintenant l’impression d’avoir fait partie du paysage.
Il y a les montagnes certes, mais aussi les animaux.
Ces wapitis qui se baladent dans la ville et aux alentours, sont plus vrais que nature !
En famille, solitaire, en troupeau ou en duo, on les voit partout.
En rentrant de travailler l’autre jour, il y avait une grosse femelle qui broutait sur le terre-plein en plein centre de la ville.
Aujourd’hui, j’ai vu une petite famille sur le bord d’une rivière.
On sait qu’il y a des animaux à proximité quand les voitures sont arrêtées sur l’accotement ; les touristes arrêtent, ralentissent et prennent des photos. Je fais encore pareil!
Je n’arrive pas à faire de bonnes photos de ces animaux… je ne reste jamais assez longtemps. On dirait qu'ils se tournent quand je pose! J'ai juste réussi à prendre des culs de wapitis!
Et, je ne veux pas les suivre ou approcher.
Comme nous sommes dans un Parc National, j’ai l’impression d’être chez eux, et je ne veux pas les importuner !
J’entends chaque jour des histoires d’ours et j’ai vu des crottes d’ours en plein cœur de Jasper…
Pour les ours je suis vraiment chieuse. Je ne veux pas en voir, à moins d’être dans ma voiture !
Et, chaque nuit quand je retourne à ma van et que je traverse le stationnement de l’auberge, je pousse un petit cri pour signaler ma présence, brasse mes clés comme si elles étaient un grelot et je porte ma lampe frontale… je marche rapidement en me disant : « il n’y a pas d’ours !»
J’entends chaque jour des histoires d’ours et j’ai vu des crottes d’ours en plein cœur de Jasper…
Pour les ours je suis vraiment chieuse. Je ne veux pas en voir, à moins d’être dans ma voiture !
Et, chaque nuit quand je retourne à ma van et que je traverse le stationnement de l’auberge, je pousse un petit cri pour signaler ma présence, brasse mes clés comme si elles étaient un grelot et je porte ma lampe frontale… je marche rapidement en me disant : « il n’y a pas d’ours !»
Je ne sais pas comment je réagirais.
Je me rassure en me disant qu’eux non plus n’ont pas envie de me voir !
Puis dernièrement, les champignons ont piqué ma curiosité.
Je les ai remarqué pour la première fois lors de ma marche en montagne. Et, hier, j’ai marché en forêt aux alentours de Jasper et encore une fois, j’ai vu différentes variétés.
Il y en a de vraiment jolis ; de très gros, en forme d’entonnoir, des petites boules, des jaunes, des blancs, des gris…
Si je restais plus longtemps ici, j’achèterai un livre sur la mycologie.
Enfin, cette abondance de nature me fascine.
L’environnement est vaste et la ville est petite et calme.
Bien entendu, je ne me verrai pas passer 10 ans ici, mais je sais qu’en quittant, j’aurai un pincement au cœur.
Je me rassure en me disant qu’eux non plus n’ont pas envie de me voir !
Puis dernièrement, les champignons ont piqué ma curiosité.
Je les ai remarqué pour la première fois lors de ma marche en montagne. Et, hier, j’ai marché en forêt aux alentours de Jasper et encore une fois, j’ai vu différentes variétés.
Il y en a de vraiment jolis ; de très gros, en forme d’entonnoir, des petites boules, des jaunes, des blancs, des gris…
Si je restais plus longtemps ici, j’achèterai un livre sur la mycologie.
Enfin, cette abondance de nature me fascine.
L’environnement est vaste et la ville est petite et calme.
Bien entendu, je ne me verrai pas passer 10 ans ici, mais je sais qu’en quittant, j’aurai un pincement au cœur.
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